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Dec 6, 2025
New Saga, c’est typiquement l’animé qui “passe le temps”. Ça se regarde, mais ça manque clairement de quelque chose. Il y a des personnages intéressants, un développement d’histoire qui pourrait fonctionner, mais au final, je n’ai accroché à rien de vraiment spécifique dans l’univers. Ça reste correct, mais sans jamais devenir marquant.
C’est le genre d’animé qu’on peut regarder si on a du temps… et qu’on peut aussi ne pas regarder, parce qu’on ne rate rien de spécial. Il y a quelques bons moments, et d’autres où on s’ennuie franchement. Rien de catastrophique, rien d’exceptionnel : juste au milieu, ce qui explique parfaitement la note.
Personnage préféré
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: Layla Theron, parce qu’elle a un petit côté psychopathe qui m’a fait rire.
Après avoir vaincu le Roi-Démon au prix d’immenses sacrifices, le héros Kyle se retrouve mystérieusement projeté dans le passé, avant la destruction du monde. Armé de ses souvenirs, il tente de modifier le cours des événements en recrutant de nouveaux alliés et en déjouant les catastrophes à venir. L’anime mélange voyages temporels, combats et reconstruction d’une destinée qui a déjà échoué une première fois.
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Dec 6, 2025
Overtake! fait partie des animés préférés de Yuki Tsunoda dans sa sélection Crunchyroll, donc forcément, en tant que passionné automobile, j’étais curieux. Mais qui dit passionné dit aussi que les incohérences sautent vite aux yeux. Il y a plein d’actions qui n’ont pas vraiment de sens, des comportements de pilotes ou des situations qui ne ressemblent pas du tout à la réalité. Mais bon, c’est le classique : dès qu’on connaît un domaine et qu’on regarde une adaptation “grand public”, il y a toujours des soucis techniques qui empêchent d’apprécier pleinement l’histoire.
En dehors de ça, on est sur un scénario ultra classique. Ni bon, ni
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mauvais, ni exceptionnel. Ça se regarde, ça passe, mais ça ne marque pas spécialement. Le seul vrai point positif, c’est l’univers du sport auto et de la Formule 4. Si on aime la voiture, forcément, ça fait plaisir de voir un anime dans cet environnement. Sinon, ça reste un anime de sport tout ce qu’il y a de plus banal : progression, rivalités, sursauts émotionnels, schéma classique.
Personnage préféré : Komaki. Parce que Asahina, je ne suis pas spécialement fan, et qu’il n’y a pas non plus mille personnages marquants.
Overtake! suit un photographe au bord du burn-out qui redécouvre sa passion en rencontrant un jeune pilote de Formule 4 nommé Asahina. Ensemble, ils se lancent dans un parcours d’entraide où chacun tente de dépasser ses propres limites. L’anime explore les coulisses du sport automobile, les rivalités de circuits et les traumas personnels qui freinent les ambitions. Un récit simple mais ancré dans l’univers des courses japonaises.
Reviewer’s Rating: 5
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Dec 6, 2025
Honnêtement, The Promised Neverland, j’ai adoré comme tout le monde. Je n’ai même pas une critique très originale à apporter, puisque je partage globalement le même avis que tout ce qu’on peut lire un peu partout. Tout l’anime — et le manga — est extrêmement bien construit, avec une tension incroyable, une ambiance parfaitement maîtrisée et un développement qui nous entraîne vraiment dans l’histoire.
Mais la fin… la fin est clairement catastrophique. Et c’est là que mon ressenti devient un peu mitigé : on a été emmenés tellement loin, avec une montée en puissance de dingue, qu’arriver à un dénouement aussi décevant laisse forcément un goût
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amer. On attendait quelque chose d’à la hauteur de tout ce qui avait été posé avant, et ce n’est pas le cas.
Pour autant, j’en garde un souvenir positif. L’œuvre reste marquante, très bien écrite dans sa première partie, et vraiment captivante. C’est juste le contraste entre un début excellent et une fin ratée qui laisse une impression un peu frustrante.
Emma, Norman et Ray vivent dans un orphelinat idyllique où tous les enfants semblent heureux… jusqu’au jour où ils découvrent la vérité derrière leur existence et le destin qui les attend. Décidés à s’échapper, ils mettent en place un plan risqué, mêlant intelligence, tension et stratégie psychologique. L’histoire suit leur tentative de survie face à un monde bien plus dangereux qu’ils ne l’imaginaient. Une série où l’innocence bascule brutalement dans l’horreur.
Reviewer’s Rating: 7
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Dec 6, 2025
Grand Blue, je m’attendais à rien. On parle d’une sorte de colonie de vacances, d’un club de plongée sous-marine, un univers avec lequel je n’ai absolument aucune affinité à la base. Et pourtant… qu’est-ce que j’ai ri. C’est réellement un anime qui décroche des rires, parfois même des éclats inattendus. Le ton est complètement décalé, loufoque, et c’est précisément ce qui fait tout son charme.
La première chose qui surprend, c’est évidemment la nudité omniprésente. Mais contrairement à beaucoup d’animes qui basent tout leur humour sur ce genre de ressort, ici, ce n’est ni gratuit ni fait pour attirer l’attention. Au final, ce n’est même pas
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ce qui marque une fois l’anime terminé. C’est intégré naturellement au délire général, sans jamais devenir lourd ni répétitif.
Ce qui porte réellement l’humour, ce sont les relations entre les personnages, les situations complètement absurdes et surtout les expressions faciales, ces têtes totalement déformées qui créent des moments incroyablement drôles. Grand Blue, c’est littéralement des barres en barres. L’un des animes les plus drôles que j’ai pu voir, et pour moi, faire rire en animation, c’est loin d’être simple. Là, c’est parfaitement réussi.
Vu dans le bon mood et dans les bonnes conditions, c’est une expérience hilarante, bien au-delà de simples petites blagues. Une vraie réussite dans son registre.
Iori Kitahara emménage dans une ville côtière pour commencer sa vie universitaire et se retrouve embarqué dans le club de plongée Grand Blue. Entre soirées arrosées, membres complètement barrés et tentatives hasardeuses d’intégration, sa nouvelle vie prend une tournure bien plus chaotique que prévue. Au milieu de ce chaos permanent, l’anime alterne moments absurdes, camaraderie sincère et découvertes liées à la plongée sous-marine. Une comédie centrée sur l’amitié et le décalage total.
Reviewer’s Rating: 7
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Dec 6, 2025
Takopi no Genzai, c’est pour moi une véritable claque émotionnelle. C’est clairement une œuvre à ne surtout pas regarder lorsqu’on est déprimé ou au fond du gouffre, parce qu’elle frappe extrêmement fort. Il faut être accroché : certaines images sont dures, parfois choquantes. Mais c’est justement cette intensité qui fait la beauté et tout l’intérêt de l’anime. L’histoire aborde des sujets de société ultra sensibles et vient littéralement te saisir par le cœur, avec une intrigue et un développement absolument ahurissants.
Le contraste est d’autant plus puissant qu’il repose sur ce petit extraterrestre mignon et décalé, qui cohabite avec des thèmes horribles : suicide, harcèlement scolaire,
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solitude, parents totalement défaillants. Tout est montré à travers des enfants, ce qui amplifie encore le choc des situations. On se retrouve face à une œuvre qui associe une imagerie adorable à une réalité terriblement brute, et cette opposition fonctionne incroyablement bien.
C’est très court — seulement six épisodes — mais d’une intensité rare dans le monde de l’animation. Honnêtement, je recommande à 1000 %. C’était vraiment une expérience marquante.
Takopi, un petit extraterrestre naïf et bienveillant, arrive sur Terre pour répandre le bonheur. Il croise alors une enfant en grande détresse, prise dans un quotidien marqué par le harcèlement, la solitude et des violences familiales. En voulant l’aider avec toute son innocence, il déclenche malgré lui une spirale tragique qui révèle la noirceur qui entoure ces enfants. Un récit court, dur et profondément marquant.
Reviewer’s Rating: 8
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Dec 6, 2025
Le Tombeau des Lucioles est un chef-d’œuvre absolu.
Pour moi, Le Tombeau des Lucioles est un chef-d’œuvre absolu. C’est un film qui n’a pas besoin de justification ni de longs discours : tout est dit par l’expérience qu’il offre. Une œuvre d’une puissance émotionnelle rare, bouleversante, sincère, qui marque à vie. Rien à ajouter — simplement un film incontournable.
Situé dans le Japon de la Seconde Guerre mondiale, Le Tombeau des Lucioles suit Seita et sa petite sœur Setsuko, deux enfants livrés à eux-mêmes après la destruction de leur ville lors des bombardements. Tentant de survivre dans un pays ravagé, ils cherchent refuge, nourriture et réconfort
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dans un monde qui s’effondre autour d’eux. Leur lien fraternel devient leur dernière source de lumière au milieu de la tragédie. Le film explore la guerre à hauteur d’enfant, avec une sensibilité et une humanité déchirantes.
Reviewer’s Rating: 10
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Dec 6, 2025
Je mets 9 sur 10 uniquement pour un point : c’est beaucoup, beaucoup trop long. L’anime souffre de sa longueur extrême, avec des arcs qui tirent parfois en longueur, des épisodes qui n’apportent pas toujours de plus-value, et un rythme global qui peut décourager même les plus motivés. Se lancer dans One Piece aujourd’hui est un défi monumental, et même en ayant commencé dès le début, suivre l’anime peut devenir exigeant. Le manga, à mon sens, reste plus compact, plus cohérent et mieux rythmé.
Mais malgré cela, One Piece demeure selon moi l’univers le plus riche et le plus complet jamais créé dans le monde du
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manga. Les intrigues, les personnages, leur développement, les thèmes abordés… On trouve absolument tout. Oda a réussi à prendre un concept de base très simple — la piraterie — pour en faire un voyage gigantesque à travers tous les registres possibles : aventure, drame, humour, émotion, mystère, politique, amitié, tragédie, espoir. Chaque arc explore une dimension différente et renforce un univers d’une cohérence impressionnante.
À travers ses longueurs, One Piece reste pour moi l’une des plus grandes œuvres animées et dessinées de tous les temps. Une aventure unique, émotionnelle, dense, inégalée.
One Piece raconte la quête de Monkey D. Luffy, un jeune pirate au chapeau de paille déterminé à trouver le légendaire trésor laissé par Gold Roger : le One Piece. Grâce au pouvoir élastique qu’il a obtenu en mangeant un Fruit du Démon, Luffy parcourt les mers à la recherche de compagnons et d’aventure. Ensemble, l’équipage du Chapeau de Paille affronte des ennemis redoutables, explore des îles mystérieuses et se retrouve mêlé aux secrets profonds du monde. L’histoire mêle liberté, rêves, combat et émotions dans un univers vaste et passionnant.
Reviewer’s Rating: 9
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Dec 6, 2025
Pour moi, Mugen Train est avant tout une claque visuelle et sonore. Si on l’analyse en tant que film indépendant, il est clair que la structure cinématographique est mal amenée : les personnages apparaissent sans véritable introduction, aucune explication n’est donnée à ceux qui ne connaissent pas l’univers, et le scénario n’a de sens que pour les spectateurs ayant vu l’anime. Mais si on aborde le film comme la suite directe de la première saison — ce qu’il est réellement — alors tout fonctionne parfaitement.
L’histoire en elle-même n’est pas le scénario le plus révolutionnaire qu’on puisse imaginer, mais elle parvient à mélanger habilement émotion, tension,
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retournements de situation et progression narrative. On avance dans la trame générale, on comprend mieux certains personnages, et on traverse toute une palette d’émotions : joie, tristesse, nostalgie, espoir.
Mais ce qui fait de Mugen Train une œuvre exceptionnelle, c’est l’expérience sensorielle.
L’animation est d’un niveau rarement atteint dans le secteur, les combats sont d’une fluidité impressionnante, les effets visuels sont sublimes, et la bande-son transcende chaque scène. Au cinéma, c’était un moment hors du temps, un spectacle total qui m’a littéralement happé du début à la fin.
Pour cette expérience unique, immersive et spectaculaire, je ne peux que lui attribuer un 10/10.
Suite directe de la première saison, Mugen Train suit Tanjiro, Nezuko, Zenitsu et Inosuke alors qu’ils montent à bord du Train de l’Infini pour enquêter sur une série de disparitions mystérieuses. Aux côtés du Pilier de la Flamme, Kyojuro Rengoku, ils sont confrontés à un démon capable de manipuler les rêves et les émotions des passagers. Entre illusions, combats intenses et révélations douloureuses, le groupe doit affronter une menace redoutable qui mettra à l’épreuve leurs convictions, leur force et leur humanité.
Reviewer’s Rating: 10
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Dec 6, 2025
To Your Eternity est pour moi l’un des plus grands gâchis que j’aie vus en anime. Le concept de départ était un véritable 10/10 : une narration captivante, un style visuel fort, une ambiance mélancolique maîtrisée et surtout une idée extraordinaire — suivre un être immortel qui découvre le monde, la vie, les émotions et les humains. Les cinq à six premiers épisodes m’ont complètement happé : chaque scène, chaque révélation, chaque rencontre était riche, poignante, pleine de sens et de promesses.
Puis, tout s’effondre.
Très vite, l’anime perd toute cohérence. Le protagoniste, censé apprendre et évoluer, devient au contraire un personnage incohérent, naïf à un niveau
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absurde, dont les actions comme les réactions semblent déconnectées de toute logique. L’écriture se contredit en permanence, les personnages secondaires agissent souvent de manière insensée, et l’histoire n’avance plus. Là où le début brillait par sa sensibilité, sa profondeur et sa construction, la suite s’enlise dans la répétition, les arcs prévisibles et les situations qui se ressemblent toutes.
Certains personnages restent attachants ou bien écrits, mais trop d’autres n’apportent aucune plus-value. L’œuvre finit par tourner en rond, diluant complètement la force de son concept initial.
Résultat : un début exceptionnel, mais une exécution qui s’écroule au fil des épisodes, jusqu’à devenir une expérience frustrante et décevante.
To Your Eternity suit un être immortel envoyé sur Terre sous la forme d’une sphère, capable de se transformer en ce qu’il observe. En adoptant l’apparence d’un jeune garçon, il entame un voyage initiatique à travers un monde inconnu, découvrant la vie, la mort, les liens humains et les émotions pour la première fois. Chaque rencontre façonne son évolution, mais l’immortalité implique aussi la perte, la douleur et la solitude. L’anime explore l’apprentissage du protagoniste face à l’humanité et ses nuances, dans un univers où le merveilleux côtoie la tragédie.
Reviewer’s Rating: 4
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